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Alors que tous les équilibres financiers sont déterminés par la valorisation de Natixis et de Nexity, on nous répond qu'on ne peut pas nous la faire connaître, parce que les banques populaires et les caisses d'épargne n'ont pas les mêmes méthodes d'appréciation. Or la variation peut être de plusieurs milliards d'euros. Tant que je ne saurai pas quelle est cette valorisation, je considérerai que je ne serai pas en état de discuter du projet de loi. Pouvez-vous au moins, monsieur Pér...
Les 20 % dépendent de la valeur de Natixis aujourd'hui !
... rémunérés par des taux d'intérêt ? Ce sont les actionnaires privés qui bénéficieront de cette opération, car je suis bien convaincu qu'ils encaisseront plus que les 8 % d'intérêt prévus. Il faut donc instaurer une clause prévoyant le partage des bénéfices, au-delà de ces 8 %, à concurrence de la participation, donc des fonds propres qui ont été engagés. Vous nous annoncez que la valorisation de Natixis interviendra plus tard, mais toute l'opération en dépend, car selon ce que sera cette valorisation et cela vaut pour les deux formes de participation les 5 milliards d'euros de l'État représenteront une part plus ou moins importante du capital de l'ensemble. Faute de précisions comptables, les parlementaires ne sont pas en mesure de juger de l'opportunité d'une telle opération. Mais de là à ...
... temps à nous expliquer qu'il n'y avait pas de mélange des genres, j'ai cru néanmoins vous entendre nous exposer le projet de loi qui va être soumis au Parlement. Je suppose que c'est, là encore, une preuve d'une séparation stricte des fonctions ! J'ai travaillé pour Rothschild comme vous, et je n'en ai pas plus de honte que vous. J'aimerais savoir cependant si vous êtes intervenu sur le dossier Natixis et pour quelle rémunération. Quelles sont par ailleurs votre rémunération actuelle et celle de M. Milhaud, votre prédécesseur, censé avoir été sanctionné, mais dont je me suis laissé dire qu'il occupait un poste agréable ?