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...s, et nous n'avons guère d'informations, même si je crois savoir que des échanges ont lieu avec les présidents des conseils généraux. Pourriez-vous nous en dire plus ? Aux termes du contrat État-région que vous avez signé avec Mme la ministre de l'Écologie, 300 millions, sur un total d'1 milliard d'euros, seraient consacrés à la ligne C. Lors d'un conseil d'administration au mois de décembre, le STIF a décidé de lancer plusieurs études relatives à la ligne C, notamment sur le noeud ferroviaire de Bretigny-sur-Orge, qui est au coeur des problèmes. Il y a urgence à réaliser ces travaux. Qu'en est-il ?
...a aborder le problème du financement des transports en Île-de-France par les entreprises, on ne peut pas ne pas évoquer la situation catastrophique du réseau francilien de RER, comme on l'a déjà dit à plusieurs reprises. Nous disposons pour cela d'un excellent rapport de la Cour des comptes, qui a constaté que les réseaux sont saturés, mal entretenus et mal gérés. Ce rapport épingle la gestion du STIF et pose le problème de sa gouvernance. Aujourd'hui, les réseaux se dégradent ; les irrégularités atteignent des niveaux très élevés 12 % pour la ligne C, 15 % pour la ligne D, 24 % pour la ligne B. Il y a même deux journées au cours desquelles la SNCF a été incapable de faire circuler les trains sur la ligne B et a dû mettre en place un trafic extrêmement allégé. Il est temps d'ouvrir les yeu...
Madame Lepetit, sans refaire l'histoire du STIF, je vous redis que l'année dernière, alors que nous étions allés manifester, j'ai rencontré le président Huchon, avec une vingtaine d'élus : il a pris des engagements. Nous ne l'avons pas forcé ! C'est lui qui s'est engagé à ceci, à cela. Un an après, rien n'a été fait ! On peut invoquer des problèmes financiers, mais il ne fallait pas prendre des engagements s'il ne pouvait pas les tenir ! Enco...
J'ai bien entendu les arguments de Gilles Carrez et du ministre mais je maintiens mon sous-amendement. Je voudrais signaler un paradoxe : alors qu'on va accroître les charges des entreprises à travers leurs cotisations au versement transport, le STIF supprime la zone 6. Certes, nous nous félicitons que les Franciliens qui sont les plus éloignés du coeur de Paris et qui ont les transports les plus difficiles et les plus longs voient leurs tarifs ramenés à ceux appliqués à la zone 5, mais cela représente une perte de recettes définitive pour le STIF de 20 millions d'euros. On a définitivement tiré un trait sur une recette de 20 millions d'euros...