2 interventions trouvées.
Comme M. Chanteguet, je trouve le texte en vigueur suffisant. L'agrainage entraîne la prolifération des sangliers et empêche le développement d'autres espèces de même, d'ailleurs, que le lâcher de faisans , ce qui compromet la biodiversité. De telles pratiques vont contre le bon sens et contre une conscience minimale de ce qu'est une espèce vivante (exclamations sur divers bancs).
...oge comme M. Chanteguet sur ce que peut recouvrir le « développement durable en matière de préservation de la faune sauvage et de ses habitats ». Le développement durable, en effet, est un objectif qu'on a bien du mal à expliciter mais qu'on ne peut atteindre, en tout état de cause, qu'au prix d'une action conjointe dans les trois domaines social, économique et environnemental. Le mentionner en l'espèce me paraît donc malvenu. Cependant, l'éducation et l'information relèvent d'abord de l'Éducation nationale. Or on n'y dispense plus de cours de sciences naturelles ou de leçons de choses comme nous pouvions en suivre, si bien que la connaissance des espèces n'est pas à la hauteur de ce qu'il faudrait pour accroître le discernement de nos enfants.