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La place de la langue française au sein de l'IRENA, qui inquiète à juste titre beaucoup de nos collègues, n'en aurait été que mieux préservée. Le mirage de mégacontrats nucléaires avec les pays du Golfe,
... en la parole présidentielle. Nous l'avions pourtant alerté en son temps, depuis les bancs de l'opposition, des risques qu'il prenait pour sa sécurité personnelle, environnementale et, tout simplement, politique. Avec raison, M. Borloo avait soutenu l'initiative allemande. Il avait réussi à faire désigner la directrice adjointe de son cabinet, Mme Hélène Pélosse, comme directrice intérimaire de l'IRENA. Le choix était pertinent : Mme Pélosse avait travaillé plusieurs années au secrétariat aux affaires européennes. Puis, pendant la présidence allemande de l'Union européenne, elle avait été détachée à Berlin auprès de Mme Merkel. Que croyez-vous qu'il arriva ? Grâce à l'action de M. Sarkozy, à l'heure où nous ouvrions une base militaire dans les Émirats et d'hypothétiques négociations sur le nuc...
Les députés socialistes, radicaux et citoyens, comme Mme Pélosse, croient en effet beaucoup au centre d'innovation et de technologies, qui dépendra de l'IRENA, mais qui sera installé à Bonn. « Il va faire », indique Mme Pélosse, « ce que le siège d'Abou Dabi ne fera pas en s'appuyant sur l'expertise accumulée par l'Allemagne ces dernières années » et ce en dépit du président français, qui, après la Princesse de Clèves, aurait mieux fait de lire Les Mille et une nuits pour y trouver la technologie propre et renouvelable du tapis volant. (Applaudisseme...