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L'État, représenté par les ministères du Budget et de la Défense, nous a sollicités en mars dernier pour que nous formalisions avec la Sovafim une offre d'achat sur un périmètre d'actifs immobiliers à Paris. Le délai était relativement court : l'État nous demandait de présenter une première indication d'intérêt avant l'été et souhaitait que nous l'aidions à trouver un mode de reprise pour les actifs qui seraient libérés entre 2011 et 2014, du fait du transfert du ministère et des états-majors sur le site de Balard. Bien que nous ayons ...
...ormuler l'offre indicative ont été très brefs, nous pouvons penser que les éléments de valorisation que nous avons proposés répondaient aussi bien aux objectifs de l'État qu'aux nôtres. Ils ont aussi fait l'objet d'accords de convergence technique avec les conseils de l'État. Dans ces conditions, il nous paraît difficile d'imaginer que, dans la négociation, la Caisse de même que, à mon sens, la Sovafim aille très au-delà des montants que j'ai mentionnés. Nous avons envoyé les signaux nécessaires à l'État en ce sens. De plus, la création de la structure de complément de prix déjà évoquée aboutissait à ce que les gains supplémentaires que nous pouvions tirer de l'opération soient partagés avec l'État. Dès lors que nous proposions à l'État de partager les bénéfices futurs, nous ne pouvions pas p...
Le portefeuille d'actifs devait être acquis en commun, avec un partage de l'actionnariat en fonction des moyens des uns et des autres. Cependant, la Sovafim nous a fait valoir que son objet social ne se limite pas à la propriété d'immeubles, mais s'étend aussi à la valorisation et à la gestion de biens immobiliers. Elle a donc souhaité que lui soit donné un rôle dans ce domaine, à l'instar de celui que joue la SNI au sein de la Caisse des dépôts. Nous avons donc entrepris de déterminer de façon théorique un partage des tâches. Sans que les élémen...