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Pour stopper une épidémie, quel pourcentage de la population faut-il vacciner ? Je n'ai jamais entendu, en effet, qu'il était nécessaire de vacciner tout le monde. Par ailleurs, est-il vrai que lorsqu'un patient est atteint cliniquement par la grippe H1N1, trois à quatre autres personnes sont atteintes de façon infraclinique ? Autrement dit, si l'on calcule le nombre de patients cliniquement révélés, peut-on estimer que ceux qui ont été atteints sans qu'on le sache sont trois ou quatre fois plus nombreux, comme cela a été montré à Marseille ? Qui a décidé qu'il fallait deux injections pour être protégé contre ce virus ? En dehors du cas H5N1...
Le taux de 28 % pour ce qui concerne la grippe saisonnière est déjà faible, il traduit une réticence inhérente au corps médical, que nous avons essayé de contrecarrer. Par contre, 65 % des médecins se sont fait vacciner.
...t que les antiviraux ne sont pas efficaces sur la mortalité : tout au plus réduisent-ils de quelques heures la symptomatologie, lorsqu'ils sont administrés rapidement. Pouvez-vous confirmer qu'en sus de la commande de 94 millions de doses de vaccin, l'ÉPRUS a reçu l'instruction de poser une option pour 30 millions de doses, ce qui fait un total de 124 millions de doses ? Je crois savoir que les grippes de type H et N ne nécessitent qu'une injection de vaccin. Pourquoi a-t-il été décidé de vacciner deux fois contre la grippe A (H1N1) ? Mais cette question est sans doute idiote puisque l'on a, par la suite, changé d'avis et décidé de ne vacciner qu'une fois. Pourquoi les Américains ont-ils disposé avant nous d'un vaccin s'administrant par injection nasale, conditionné de manière différente ? C...