Les amendements de Jean-Pierre Grand pour ce dossier
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Nous partageons tous la même émotion : la façon dont un journaliste a été arrêté puisqu'il faut bien utiliser ce terme est inacceptable dans une démocratie sereine. Aussi notre assemblée devra-t-elle interroger le Gouvernement de façon très précise.
De tels événements ne sauraient se reproduire. Le secret des sources est aussi important que le mutisme des résistants que l'on presssait, pendant la guerre, de dénoncer leurs camarades. Notre démocratie a le devoir absolu de protéger la liberté de la presse. Le consensus qui, je l'espère, se dégagera dans les prochains jours au sein de notre a...
Monsieur le président, j'ai lu, comme d'autres collègues certainement, Le Point n° 1888 qui est sorti aujourd'hui, 20 novembre 2008. Une journaliste y cite, page 42, certaines phrases qu'elle impute au Président de la République. Naturellement, je ne fais aucun procès d'intention ni au Président de la République ni au Gouvernement, pas plus que...
« Celui-là, il est mort. » « Je vais m'occuper personnellement du redécoupage de sa circonscription ! » Monsieur le président, lorsque j'ai été réélu député de ma circonscription, le premier acte solennel que j'ai effectué a été de voter la confiance au Gouvernement, manifestant ainsi mon appartenance à la majorité parlementaire, et donc prési...
Je reste, là aussi, tout à fait neutre. Mais, je suis obligé de le reconnaître, certains éléments m'amènent à me poser des questions.
Ces propos rapportés par la journaliste sont d'une extraordinaire gravité. D'abord, ils mettent en cause toute la crédibilité des propos tenus par le secrétaire d'État je serais tenté de dire qu'il est même le premier intéressé par cette phrase. Ensuite, ils peuvent apparaître comme une pression forte exercée sur les parlementaires.
Parce que j'ai voté la confiance envers lui, parce qu'il est le chef de la majorité parlementaire, j'estime que le Premier ministre est le seul à pouvoir venir ici apporter toutes les précisions et tous les apaisements nécessaires. Je sais qu'il se trouve aujourd'hui au Liban, et donc dans l'impossibilité d'être présent. Il n'y a pas le feu. Il...
Je demande la suspension des travaux, jusqu'à la venue du Premier ministre. Ensuite, nous pourrons mesurer l'authenticité et le sérieux de tout cela.