S'agissant de l'amendement précédent, je précise que la commission en avait examiné un autre plus radical tendant à demander au Gouvernement d'engager d'emblée une revalorisation plus forte des retraites, qui est malheureusement tombé sous le coup de l'article 40. Je comprends que le rapporteur se soit senti, à titre personnel, libre de voter l'amendement qui vient d'être rejeté, car ce n'était qu'un signal et il n'engageait pas très fortement le Gouvernement. Il est donc dommage que vous ne l'ayez pas approuvé, madame la secrétaire d'État.