Monsieur le président, force est de constater que vous tentez d'accélérer le débat, alors que nous avons abordé une question éminemment sensible – que l'on y voie le fer de lance d'une réforme nécessaire, ou que l'on estime, comme c'est notre opinion, devoir la combattre. Pour notre part, il ne nous paraît pas possible de poursuivre cette discussion dans les conditions que vous nous imposez : vous accélérez les interventions, vous refusez la parole… (Protestations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.) Par conséquent, afin de nous permettre de nous concerter quant à l'attitude à adopter pour la suite du débat, je demande une suspension de séance d'un quart d'heure.