Personne ne conteste qu'il est indispensable d'améliorer la prise en charge des priorités définies par le Président de la République – maladie d'Alzheimer, cancers, soins palliatifs – : vous l'avez vous-même reconnu. Nous souhaitons donner un coup d'accélérateur pour ces trois priorités, étant bien entendu que les 850 millions d'euros prévus n'en représentent pas l'alpha et l'oméga.
Comment, donc, trouver le financement ? La première solution serait d'augmenter les prélèvement et en particulier les cotisations. Mais dois-je vous rappeler que la France est l'un des pays ayant le plus fort taux de prélèvements obligatoires ?