À ce stade de notre débat, le Gouvernement est défavorable à cet amendement. Les prescriptions médicales par téléphone posent certes une vraie question. Toutefois, la Haute autorité de santé ayant constitué un groupe de travail, qui réunit les représentants des médecins et de pharmaciens, je demande à M. Préel de bien vouloir retirer cet amendement. Il ne serait pas satisfaisant que les travaux de l'Assemblée anticipent les conclusions de ce groupe de travail.