Malheureusement, le débat précédent sur la publicité des produits alcooliques sur Internet montre que la dimension de la prévention n'est pas l'une des priorités de cette assemblée.
Cela est d'autant plus dommageable qu'on ne peut pas lutter contre les conduites alcooliques – qui sont de plus en plus précoces – sans mener une politique très restrictive en matière de publicité. Pour prévenir, il faut commencer par imposer des contraintes dans le domaine publicitaire. Les effets de la loi Evin le démontrent, et se traduisent notamment dans les chiffres cités par Gérard Bapt.
Chez les jeunes, nous observons actuellement des conduites d'alcoolisation rapide, pour parler français et éviter l'expression « binge drinkinge »…