Didier Mathus est très fort : il fait la question et la réponse. (Sourires.)
Plutôt que d'affirmer qu'il est inutile d'écrire dans la loi ce que propose l'amendement, je vous dirai, monsieur Mathus, qu'il est inutile de rendre celle-ci plus rigide qu'elle ne l'est déjà. Graver dans le marbre des règles qui s'imposeront probablement dans les faits ne ferait qu'enlever de la souplesse à une structure naissante, et serait, de toute façon, prématuré.