Comme vous le savez, mesdames et messieurs les députés, le coût du brevet européen constitue en effet un handicap de taille pour les acteurs économiques, un frein au dépôt de brevet par les centres de recherche et, en définitive, un obstacle à la création d'emplois fondée sur l'innovation.
L'application de l'Accord de Londres diminuera, c'est un fait incontestable, les coûts de traduction du brevet européen de 25 à 30 %, selon les États.