Non, et surtout pas la faculté de contrôler que les heures supplémentaires seront effectuées dans les conditions prévues par le droit.
Deuxièmement, je maintiens ce que j'ai dit tout à l'heure sur la question de la santé. Nous avons récemment travaillé ensemble, madame Billard, sur la pénibilité au travail. Je répète ce que j'ai répondu tout à l'heure à M. le Bouillonnec : le projet de loi ne modifie aucun des plafonds actuellement en vigueur : quarante-huit heures, quarante-quatre heures et les onze heures de repos obligatoires. Il n'aura donc aucune incidence sur cette question essentielle. Je suis attentif, comme vous l'êtes – même si nous sommes en désaccord sur les modalités –, à la question de la santé des salariés et à leurs conditions de travail, mais je maintiens que ce texte n'a pas d'incidence sur la question.