Cet amendement, qui est loin d'être neutre, mériterait d'être examiné plus longuement. C'est pourquoi je suis partisan d'écouter la proposition de M. le ministre. Il serait en effet dommage d'entrer en contradiction avec les propos de Mme la secrétaire d'État, qui a clairement indiqué que les mesures décidées dans le cadre de la loi n'entraîneraient pas d'augmentation de la fiscalité. Or la deuxième phrase de l'amendement ne dit rien d'autre. Prenons le temps de la réflexion. Le ministre a rappelé qu'il y aurait quatre lectures de ce texte ; nous aurions tout à gagner à étudier ce point plus calmement.