Je suis étonné, madame Filippetti, que, dès qu'un amendement traite d'un sujet, on veuille l'interpréter par rapport à un autre sujet.
Certains ici connaissent mon parcours. J'ai été président du parc national des Écrins pendant une dizaine d'années. J'ai été président de la conférence des présidents de parcs nationaux pendant des années, quand j'étais député d'une circonscription de haute montagne. À ce titre, je me suis battu, madame, pendant près de quinze ans pour défendre des paysages.
J'ai donc du mal à imaginer que l'on puisse transposer dans la loi les ambitions du Grenelle de l'environnement sans qu'il y ait une seule allusion à la défense des paysages dans notre pays.