J'en donnerai trois.
La première, nous l'avons déjà discutée : il aurait fallu intégrer l'idée qu'il est nécessaire d'adopter un nouveau mode de développement. Cela n'apparaît nulle part et c'est d'une extrême gravité.
La deuxième, c'est qu'il faut un vrai suivi, concerté, de la politique environnementale menée par l'État. Cela n'apparaît pas non plus.
La troisième, c'est que cet article ne dégage pas d'axes clairs pour élaborer un financement solide et juste de la mise en oeuvre des mesures.
Je ne dis pas, bien sûr, que l'article 1er soit une coquille vide. Ce ne serait pas vrai. Mais il y manque des principes fondamentaux, et cela nous empêchera très probablement de le voter.