Madame la secrétaire d'État, l'amendement n° 595 ne donne pas de leçon au monde, il répond plutôt à la logique d'une politique nationale articulée avec la politique internationale.
Dans un texte attendu et savamment médiatisé, il n'est pas anodin d'affirmer le principe de la nécessité d'une gouvernance mondiale, d'autant que le projet de loi n'en fait guère mention. M. Letchimy le soulignait déjà hier soir, nous sommes peut-être passés à côté de la portée internationale des questions environnementales ; il serait donc tout à fait justifié d'évoquer le sujet et de poser un principe au début du projet de loi.
(L'amendement n° 595 n'est pas adopté.)