Mesdames et messieurs les députés, vous ne serez pas surpris que nous reprenions l'excellente argumentation du rapporteur général.
En affirmant qu'aucun contribuable ne pourra être taxé au-delà de 50 % de son revenu au titre des impôts directs, nous donnons une chance à notre pays de conserver, d'attirer les talents et les investissements dont il a besoin.