Notre collègue Jean Pierre Soisson a affirmé que « les gendarmes sont légitimement inquiets et comptent sur la commission de la défense pour éviter le pire lors de leur passage sous l'autorité du ministre de l'intérieur ». « Notre responsabilité », a-t-il poursuivi, « sera grande pour préserver une certaine conception française de la gendarmerie. »
Je pourrais citer M. Teissier qui exigeait – le mot est peut-être un peu fort – que les officiers, ou tout au moins la majorité d'entre eux, soient toujours formés à Saint-Cyr.
M. Moyne-Bressand s'est inquiété, quant à lui, de l'indigence des crédits alloués à une gendarmerie devenue de ce fait incapable de répondre aux sollicitations.