Je pense, monsieur le président, que le critère numéro un, c'est la nécessité de garantir le service public de la santé, même quand il est assuré par des médecins libéraux. Le reste doit en découler. Et c'est à l'État de proposer des mesures d'encouragement. Notre collègue Marc Le Fur, qui s'exprimait à l'instant avec les accents d'un conventionnel de 1793, a indiqué quelques pistes. Que l'on appelle cela coercition, volontarisme ou autrement, peu importe. Le service doit être rendu.