Mais il s'agit là de tout autre chose : mon amendement vise une entreprise qui bénéficie de l'avantage exorbitant concédé par l'article 1er et qui, en même temps – c'est-à-dire maintenant, pas il y a trois ans ni à la Saint-Glinglin ! – opère des licenciements économiques. Si cette entreprise supprime des emplois, c'est que, par définition, elle n'a pas besoin d'heures supplémentaires ! En bon cartésien, je trouve, madame la ministre, que vous maniez le sophisme. Mais peut-être avez-vous tout simplement mal lu mon amendement, car ce serait vous faire injure – encore qu'on vous ait conseillé de ne plus penser – de supposer que vous pensez de travers !