Madame la présidente, M. Lurel exprime au nom de l'outre-mer une préoccupation à laquelle la commission des finances est sensible.
Nous avons proposé et défendu le principe du plafonnement des niches, dépense fiscale par dépense fiscale,et le plafonnement global.
Nous avons toujours affirmé que cela ne devait pas se faire au détriment de l'outre-mer et qu'il fallait trouver les compensations nécessaires pour que l'effort en direction de l'outre-mer soit préservé et conforté. Nous essaierons d'y être attentifs au moment de l'examen de la loi de finances.