Je sais seulement que sa non-inscription a fait partie du compromis du Grenelle de l'environnement et que personne aujourd'hui ne souhaite rompre l'équilibre qui a été trouvé.
Lorsque Mme Voynet a abandonné le projet par le Doux, je lui ai immédiatement demandé d'activer le projet Rhin-Rhône par la Moselle et la Saône, solution aujourd'hui totalement inexistante pour la liaison entre la Mer du nord et la Méditerranée. Au risque de déplaire à M. Cochet, j'ai été très choqué par la réponse de Mme Voynet qui a dit qu'elle n'avait pas réglé un problème en Franche-Comté pour le transférer en Lorraine. Pour Mme Voynet, une voie de communication est un problème, alors que pour nous c'est d'abord une solution.