Je ne vous ai pas interrompu, mon cher collègue : ne refaites pas le coup de Cohn-Bendit ! (Sourires.)
Je me suis battu pour faire élargir une route et il n'a jamais été question d'une autoroute ! Alors que vous, et quelques-uns de vos amis, avez fait de cet endroit le Larzac des temps modernes, ce qui fait qu'aujourd'hui, nous n'avons ni la ligne de chemin de fer ni la route ! Nous nous trouvons dans une sorte de no man's land incroyable à notre époque !
(Les amendements identiques nos 225 et 228 ne sont pas adoptés.)