Cet amendement est lié au paradoxe d'avoir à la fois sur le territoire national un taux d'utilisation des contraceptions correct malgré le manque d'information, et un record du nombre d'interruptions volontaires de grossesse pour causes non thérapeutiques.
Néanmoins il semblerait que Mme Poletti ait obtenu, dans le cadre du PLFSS, qu'une étude soit menée pour répondre à cette question qui concerne des mineurs et des adolescents pour lesquels je voudrais rappeler que le rapport aux parents et le cadre parental restent essentiels.