Je ne suis pas entièrement d'accord avec Mme Lemorton.
Vous prenez l'exemple d'une jeune fille à laquelle on donne la pilule du lendemain et une pilule microprogestative si aucune contraception n'est en cours. Indépendamment de contre-indications médicales, il serait utile, dans un monde idéal, qu'une consultation gynécologique soit prévue permettant de prendre en charge la jeune fille dans sa globalité et pas seulement d'un point de vue fonctionnel.
Pour certains, le problème de la sexualité est de prendre ou non la pilule. Or il est évidemment beaucoup plus complexe.
Voilà pourquoi je rejoins plutôt l'avis de Mme la ministre.