J'ai suffisamment rendu hommage à votre action, madame Poletti, pour que vous ne veniez pas me reprocher de n'avoir pas reconnu votre travail à sa juste valeur ! (Sourires.)
Je regrette que certains soient incapables de comprendre qu'il faut élargir la possibilité de prescription et mettre fin aux réflexes corporatistes relevant d'un autre âge et ne correspondant à aucune réalité scientifique ou économique afin de permettre, enfin, la diffusion de l'information au service de la santé de nos concitoyennes pour qu'elles aient accès, dans de bonnes conditions et à intervalles réguliers, aux prescriptions dont elles ont besoin.
(L'amendement n° 453 est adopté.)