Cet amendement, qui fait le lien avec l'amendement n° 243 , propose de considérer que la rémunération fictive sur laquelle est assise le redressement forfaitaire est censée avoir été versée au cours du mois où a été constaté le délit, entraînant ainsi l'annulation des exonérations dudit mois.
Nous nous tournons donc vers les employeurs, afin de ne pas laisser supposer qu'il n'y en a que pour les salariés.