J'avoue n'avoir pas réfléchi en profondeur aux conséquences que pourrait avoir le fait que ces financements ne soient pas distribués directement aux hôpitaux, de manière pérenne, par le biais des MIGAC par exemple, mais qu'ils le soient plutôt par un fonds constitué de crédits fléchés. Il faudrait étudier les effets sélectifs que cela pourrait avoir. Je me réserve donc le droit d'intervenir de nouveau sur cette affaire en seconde lecture. Sans doute le paiement des heures supplémentaires est-il nécessaire, mais, en tout état de cause, il ne faudrait pas que cela détourne le fonds pour l'emploi des personnels hospitaliers de ses tâches initiales.