J'ai déjà souligné le fait que, sur la parole de l'État, les médecins référents s'étaient engagés dans une pratique, modifiant parfois le fonctionnement de leur cabinet, notamment en embauchant du personnel administratif.
Cependant, les pouvoirs publics n'ont pas respecté leur parole. Puisqu'on nous dit aujourd'hui qu'on va revenir vers une politique abandonnée depuis cinq ans, il est logique que ces médecins aient une priorité.