Je conclus, monsieur le président !
Si je me félicite de la tenue de ce débat à l'Assemblée nationale, je voudrais mettre en garde le Gouvernement contre la tentation de faire miroiter de faux espoirs à nos provinces, sous peine de provoquer la déception, voire la révolte de celles et ceux qui attendent depuis si longtemps que la République reconnaisse leur spécificité linguistique et culturelle. (Applaudissements sur les bancs du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche.)