Madame la présidente, il y a, semble-t-il, un consensus sur cette question : il faut donner aux déléguées régionales aux droits des femmes des moyens humains et matériels suffisants. Cela étant, les parlementaires ont davantage de pouvoir que le Défenseur des droits pour amener le Gouvernement et l'administration à financer une politique. Nous pouvons néanmoins accompagner vos efforts et relayer votre inquiétude en faisant mention du problème que vous évoquez dans notre rapport annuel.