Sans doute parce que si ces machines avaient deux bras, elles prendraient deux fois plus aux joueurs !
Par rapport aux communes où il y a un casino, celles accueillant un hippodrome se trouvent désavantagées. Ce type de structure nécessite un terrain extrêmement vaste : dans ma commune de Maisons-Laffitte, 220 hectares sur 650 sont dédiés aux activités hippiques, dont 90 hectares rien que pour l'hippodrome. Les communes concernées passent beaucoup de temps et dépensent beaucoup d'argent pour conforter les sociétés qui gèrent les hippodromes, sans rien percevoir en retour. C'est dommage, car si elles touchaient de l'argent, elles pourraient le réinvestir dans l'aménagement du territoire et les activités hippiques, afin de soutenir une filière économique irremplaçable pour notre pays.