On constate en effet, à la lecture du rapport, un écart entre le nombre de personnes susceptibles de bénéficier d'un accompagnement et la réalité : un peu plus de 120 000 personnes ont pu bénéficier de soins palliatifs. S'il existe dans ce domaine des disparités régionales, quelles en sont les explications ? Par ailleurs, faut-il créer ou développer une formation aux soins palliatifs ? Enfin, les gens finissent souvent leur vie à l'hôpital ou en établissement, mais envisage-t-on de développer l'accompagnement à domicile ?