Dans le Lot-et-Garonne, par exemple, si le nombre d'allocataires diminue, celui des bénéficiaires, lui, augmente.
Les perspectives sont donc très inquiétantes pour les départements. C'est la raison pour laquelle nous vous proposons cet amendement qui, nous en sommes conscients, reviendrait sur l'un des principes instaurés par la loi Defferre. Mais nous devons le faire puisque vous n'avez pas respecté, de votre côté, le principe d'une photographie exacte de la situation et d'un transfert des moyens correspondants.