…c'est grâce à la politique économique de Nicolas Sarkozy. Le raisonnement a contrario est implacable, monsieur Eckert.
C'est pourquoi nous prolongeons dans ce texte – un texte qui méritait un débat approfondi et que nous avons élaboré en coresponsabilité – notre engagement de réduction des déficits.
Dans ce débat, votre rapporteur général a bien évidemment, comme à son habitude, tenu une place centrale. Votre expérience et votre connaissance fine des questions budgétaires et fiscales, cher Gilles Carrez, se sont encore une fois révélées indispensables pour éclairer nos travaux et les enrichir. Vous avez soutenu la voix de la majorité et du Gouvernement avec force et conviction ; pour tout cela, je tenais, en son nom, à vous remercier très sincèrement. (Applaudissements sur les bancs des groupes UMP et NC.)
Je veux également saluer le travail accompli par l'ensemble de la commission des finances, et par son président Jérôme Cahuzac, qui n'est pas là ce soir mais qui mérite néanmoins aussi de voir sa présidence et son magistère salués.
Je tiens enfin à exprimer la reconnaissance du Gouvernement à tous les parlementaires de la majorité, qui ont été un soutien indéfectible à son action dans une réforme qui n'était pas si simple à porter, notamment aux présidents Christian Jacob et Yvan Lachaud, à qui vous transmettrez mes amitiés et tout mon respect. Comme à leur habitude, ils ont répondu présent pour mobiliser l'ensemble de la majorité et ils ont veillé à la qualité de nos échanges.
Mesdames et messieurs les députés, grâce au travail que nous avons conduit ensemble – dans ce collectif budgétaire comme dans tous ceux qui l'ont précédé cette année –, la France sera au rendez-vous de la compétitivité et de l'équilibre budgétaire, avec, au bout du chemin, une croissance forte et durable dont tous les Français bénéficieront. Je vous remercie d'y avoir pris toute votre part. (Applaudissements sur les bancs des groupes UMP et NC.)