Nous avons effectivement eu ce débat. Je dois reconnaître que la solution présentée par Mme Tabarot constitue incontestablement une avancée, même si celle-ci peut ne pas paraître suffisante. Les problèmes rencontrés par certaines familles ne sont pas réglés. Nous réservons notre vote pour demain en attendant d'en discuter entre les membres du groupe. Quoi qu'il en soit, il faudra faire montre de vigilance au cours de la prochaine législature, au sein de la commission permanente concernée mais également au sein du groupe d'études sur l'adoption qui — je l'espère — sera à nouveau constitué, afin de s'assurer que les négociations avancent et que des conventions sont conclues. Faute de quoi, je crains que la proposition de loi reste lettre morte sur ce point.