Je partage l'avis de Mme Michèle Tabarot et de M. Yves Nicolin. Nous avons mis en place avec le CNAOP un dispositif permettant, avec l'accord des mères concernées, d'apporter une réponse aux enfants nés sous X qui, devenus adultes, demandent à connaître leur origine. Je crois que cette situation est réglée.