Lorsque j'ai participé à la conférence des présidents avec le rapporteur général, nous avions le sentiment que le fait de fixer un jour précis nous permettrait de débattre en présence des membres du Gouvernement concernés par le dossier européen, au-delà de la personne et de la personnalité, que nous apprécions, du ministre du budget et des comptes publics.
Je me permets d'exprimer à mon tour un regret. Alors que l'actualité européenne est très forte, j'ai l'impression que, ce matin, nous allons en rester sinon à une litanie, en tout cas à une succession d'interventions, qui, pour être de qualité, ne répondront pas à notre souhait d'un débat approfondi.
Pour ce matin, ce qui est fait est fait ; mais il faudrait que nous nous organisions mieux à l'avenir, de façon que ce débat ne soit pas considéré comme secondaire dans la discussion budgétaire.