Je tiens à féliciter M. Sainteny pour la qualité de son rapport, qui est important et était demandé par le Parlement et l'administration. Il s'agit pour nous d'un outil d'aide à la décision. Notre débat montre bien que toutes les décisions prises dans ce domaine sont complexes. Tout le monde veut « verdir » la fiscalité et les règlements environnementaux, mais dès qu'on aborde des questions précises, ce n'est jamais simple.
Vous avez souhaité que l'on puisse internaliser les dommages environnementaux, c'est-à-dire en l'occurrence donner une valeur à la biodiversité. La question est de savoir comment : sur quels modèles pourrions-nous nous appuyer pour en tenir compte à la fois dans les transactions immobilières, la destruction ou la replantation des forêts ?