Ce rapport repose davantage sur une approche microéconomique que macroéconomique : il ne mesure pas l'impact global des propositions formulées. On y oublie tout le travail qui a été accompli dans le domaine agricole – la Bretagne y est d'ailleurs montrée du doigt. Or, les agriculteurs sont de moins en moins nombreux : on peut se demander si leur profession ne va pas un jour disparaître dans certains secteurs et ce que sera le coût d'entretien des déprises agricoles pour les collectivités locales. Je rappelle que l'agriculture et l'agroalimentaire font partie des domaines où l'on arrive encore à dégager un excédent commercial !