Mesdames et messieurs les députés de l'opposition, il s'agit d'un sujet sensible. Il mérite mieux que des invectives ou la caricature.
C'est la première fois, je le dis avec gravité, que l'éducation nationale prend en charge cette question extrêmement douloureuse du harcèlement à l'école. C'était un sujet tabou ! On n'avait pas le droit d'en parler.