Nous tournons enfin le dos aux terribles erreurs commises par tout le monde, par absolument tous les responsables publics : évidemment, si les salariés pouvaient partir avant, en préretraite, ils se sentaient protégés de la crise économique ; les chefs d'entreprise étaient intéressés ; les syndicats laissaient faire parce que c'était le souhait des salariés ; les gouvernements, quels qu'ils soient, fermaient les yeux.