Je suis donc partisan de faire du sur-mesure. Les instructions que je donnerai cette année seront donc les mêmes que celles que j'ai données l'an dernier.
Que nous vivions une époque où un euro affecté ne doit pas venir en concurrence avec un autre euro affecté ailleurs, cela va de soi. L'État, je le répète, reste le premier financeur des maisons de l'emploi. En tout état de cause, je me dois de veiller à ce que les maisons de l'emploi qui ne sont pas en concurrence, qui apportent un réel service, ne se trouvent pas privées de moyens. C'est chez moi un engagement constant.