Le reniement tout d'abord, avec Vilvorde. Avant 1997, M. Jospin et la gauche disaient : « Vous allez voir ce que vous allez voir ! On empêchera la fermeture de Renault à Vilvorde ! » Quelques semaines après les élections, c'en était fini. Vous n'avez jamais soutenu ce dossier.
Renoncement en 2002, face aux ouvriers de Lu, dans l'Essonne, où M. Jospin, invité par M. Valls, a eu ces mots terribles : « L'État ne peut pas tout ». Vous n'avez rien fait. C'était un renoncement à l'action publique et politique.
Je prends des avis et des conseils, c'est normal. Mais recevoir des leçons de votre part, cela m'est difficile, sinon impossible.