Ce système absurde accélère les licenciements en période de diminution de l'activité et ralentit les embauches en période de reprise. Autrement dit, à tous les coups on perd lorsque l'on a la préoccupation de l'emploi.
Pendant que la France dépensait chaque année 4,5 milliards d'euros pour subventionner les heures supplémentaires, l'Allemagne dépensait 6 milliards d'euros pour financer le chômage partiel. La France dépensait dix fois moins que l'Allemagne pour le chômage partiel. Cette carence est une erreur politique majeure.