Je confirme l'intérêt exclusif des salafistes pour l'éducation, la religion et les collectivités locales. Au Parlement, la présidence de la commission de l'éducation est en effet la seule qu'ils aient revendiquée. Il faut rappeler que 40 % des habitants vivent en dessous du seuil de pauvreté et que la même proportion est illettrée.
L'optimisme des hommes d'affaires me paraît surprenant au regard de la situation actuelle ; apparemment, les personnes plutôt privilégiées s'interrogent sur leur avenir en Egypte.