Un départ précipité d'Afghanistan serait ressenti par nos militaires comme une forme de capitulation, en tout cas peu digne pour ceux de nos soldats tombés sur ce sol.
Qu'arrivera-t-il après 2014 ? Il y a des éléments clés dont l'armée afghane ne dispose pas pour assurer la sécurité, comme le renseignement, les moyens de reconnaissance, les moyens d'évacuation sanitaire, l'appui de forces d'intervention rapide… Qui assurera ces fonctions indispensables ? Quels moyens faudrait-il mettre en oeuvre ? Ces éléments font-ils d'ores et déjà partie de la transition, de façon que celle-ci se passe de façon satisfaisante ?